Les grilles de la maison du Canal exposent Morgane Launay

site officiel :
www.regiedequartierparis10.fr
du 07/02/2011 au 04/03/2011
LA MAISON DU CANAL RéGIE DE QUARTIER PARIS 10
13-17 rue Louis Blanc
75010 Paris
France
Les grilles de la maison du Canal exposent 2 séries photos de Morgane Launay: « My New York, portraits d’une ville » et « Silhouette »
Du lundi 07 février 2010 au vendredi 04 mars 2011
Vous êtes invitez au vernissage le vendredi 18 février à 18 heures
A la maison du Canal
Régie de quartier du 10ème arrondissement de Paris
13-17 rue Louis Blanc 75010 Paris
01 42 01 46 83
http://www.regiedequartierparis10.fr/
Morgane Launay est une jeune photographe basée à Paris. Issue du cinéma et de la vidéo, elle se dirige par passion vers le métier de photographe.
Dès le début, elle s’intéresse aux hommes et aux femmes qui l’entourent, à l'humain et à son identité particulière. Elle fonde sa démarche artistique autour de la notion de témoignage, et de mise en scène, via des portraits d'artistes, d'acteurs, et d'anonymes.
Pour servir son propos, elle propose une esthétique qui fait la part belle aux couleurs et à certains décadrages.
Cette exposition présente deux séries de photos, « My New York, portrait d’une ville » et « Silhouette », qui nous incite, à travers le regard de l’artiste, à déambuler dans les villes d’ici et d’ailleurs.
« My New York, portraits d'une ville » est un reportage photographique qui retranscrit, à travers le portrait de quelques habitants, une vision de leur ville, morcelée mais pleine de sens. Loin des clichés touristiques, la ville, cette gigantesque usine a rêves, devient humaine, personnelle et tout simplement belle. Qu'il s'agisse d'une forêt dans le Bronx ou d'un loft de Manhattan, chaque témoignage est unique, magique. Morgane Launay, la photographe, a en cela le talent de saisir l'émotion qui se dégage de ces lieux lorsque l'interviewé livre sa vision de la ville. En mots comme en images: une explosion cosmopolite de saveurs.
Le trailer: My New York
« Silhouette » propose une vision contemplative de paysages du monde. En effet, que ce soit sur la célèbre Grand place de Bruxelles ou dans un théâtre abandonné en Angleterre, ce sont des bouts de cette planète, habités par les anonymes qui y vivent. Ces images représentent des moments de calme, où à l'heure d'internet, tout circule à grande vitesse.
Ces portraits sans objet, ces silhouettes, n’ont jamais de noms sinon celui de la ville qu'il représente. L’humain, à la manière d’une empreinte délimite une appartenance au lieu, impalpable et fantomatique et vient renforcer l'esthétique que crée le vide autour de lui.
La silhouette, cette forme impersonnelle, devient plus qu'un témoin, c'est une partie intégrante du lieu où elle se trouve.