Nouvelle peinture narrative : le réel transfiguré

Etienne Cail : La Force

Fasciné par la Chine et son art, les « gueules » du jeune Étienne Cail, celles qu’il défie à grands coups de pinceaux, se matérialisent désormais sous des airs asiatiques. Les compositions, qui reprennent les grands moments de l’histoire, les plus grands chefs d’oeuvres d’art occidental, oscillent entre rêve

et réalité, Orient et Occident, force et quiétude.

 

Thierry Carrier : Solitudes

En recommençant son autoportrait, encore et encore, il entretient cette énigme, impossible à résoudre, et qui perdure. Cette plongée dans le cosmos laisse place à une forme tonique et vibrante d’énergie pour représenter cet « être en suspend et insondable ».

 

Yoann Merienne : la Subtilité

Pour Yoann Merienne, les nuances sont primordiales. En mêlant un effet photographique et une ambiance volontairement feutrée, l’artiste retranscrit des sujets humains, animaliers ou naturels à un instant T, empreints de surréalisme, de mythologie ou de futurisme.

 

David Mesguich : le Mystère

De façon quasi obsessionnelle, il parcourt les villes et élabore une cartographie atypique de celles-ci en focalisant son intérêt pour tout ce qui dans ces espaces de passage sépare, entrave et cloisonne, répertoriant systématiquement les composantes d’une esthétique du contrôle Omniprésente.